Aujourd’hui l’alcool, la drogue et le tabac font officiellement partie du quotidien. Bien que n’étant pas toujours favorables pour l’organisme du consommateur, ceux-ci sont l’apanage de la majeure partie de la jeunesse. Devriez-vous pour autant normaliser la consommation ? Ne présente-t-elle pas de risques ? Découvrez dans cet article les dangers sur le long terme liés à la consommation de tabac.
La destruction progressive des poumons
Toutes les fois que vous consommez du tabac, retenez que vos poumons ne restent pas indifférents. Chaque quantité de fumée que vous envoyez dans votre organisme est automatiquement convertie en un énorme amas qui recouvre systématiquement les poumons. Au fur et à mesure que votre consommation s’accroît, ce grand nuage de fumée obstrue progressivement vos poumons. C’est ce qui explique souvent les problèmes respiratoires chez les fumeurs.
Une diminution des capacités intellectuelles
Chaque consommation de tabac à un impact important sur l’ensemble du corps. Si cela est d’autant plus observable au niveau des organes visibles, il l’est aussi sur le cerveau. En effet, le tabac entraîne la plupart du temps la destruction des neurones. Or, ceux-ci sont les principales entités qui interviennent pour le fonctionnement du cerveau. Une diminution des neurones entraîne donc un ralentissement des fonctions cérébrales. L’individu aura donc de plus en plus de mal à réfléchir correctement et rapidement.
La destruction de l’épiderme
C’est l’une des conséquences les plus visibles du tabagisme. Le tabac a la propriété d’étouffer l’oxygénation de la peau. Ainsi, en plus de rendre la respiration plus compliquée, il affecte aussi l’épiderme. Très rapidement, au bout de quelques mois de prise, la peau du consommateur devient ridée, terne et fragile. D’ailleurs, il faut noter que sur le long terme, celle-ci ne parvient plus à jouer son rôle de barrière naturelle. N’importe quel corps étranger s’infiltre donc facilement. C’est la raison pour laquelle de nombreuses maladies peuvent être observées chez les fumeurs.